François Matton

Voici des années que j'aime le regard de François Matton et que je ne sais comment le lui dire parce qu'il est impossi...

Le premier volume des Cahiers Aragon vient de paraître - éditions Les Cahiers.

(Ce qui s'est passé /4) Tout ça est terminé maintenant. Je ne juge plus. Enfin, presque plus. Une ouverture s'est faite en moi. Éton...

(Ce qui s'est passé /3) Très vite, à mesure que je jugeais, je me suis séparé de tout. Les mille petites choses chéries que j'ai...

(Ce qui s'est passé /2) Quand je suis entré à l'école des beaux-arts, j'ai achevé ma première métamorphose. J'ai appri...

(Ce qui s'est passé /1) Petit, cheveux d'ange, grands yeux bleus étonnés de tout, sourire désarmant, j'étais un enfant merveille...

Je voulais être un Homme du Tao qui observe les nuages et laisse l'Histoire faire rage en dessous. Kerouac, Les Anges vaga...

Ma contribution pour le numéro 12 de la magnifique revue Espace(s)      publiée par le Centre national d'étude spatiale.  (D&#...

Eh, les choses, c'est bon ? vous tenez le coup ? vous êtes encore là ? on veut continuer à croire en vous ne nous lâchez pas ...

Je ne dessine bien qu'en petit. C'est plus organique intime modeste, plus proche de l'écriture qui sort dessous la main...

Seule occurrence connue à ce jour d'une photo où j'ai l'air naturel.  Photo Matton  (je suis une tautologie) ...

« L'humidité du bois, l'odeur de la terre, les couleurs des feuilles de hêtre, du sorbier, du saule des chèvres, de l'...

(la volupté suprême ça fait peur parfois)

« un morceau de canne à sucre pourpre, gros comme une poutre une mandarine dorée, même le miel ne saurait lui être comparé dans l’iv...

Ou : Le barbu jovial et inspiré que je ne suis pas.

Un moine zen vivait là, tranquille. Un jour on frappe à sa porte. Il trouve un bébé par terre. Il dit « Ah bon ». Il prend le béb...

Allez hop, nettoyage. Comme ça n'a pas eu trop le temps de sécher, tout part très vite. C'est l'avantage du sol plastifié qui r...

(...) Vous me faites penser au maître fantoche du délicieux petit livre de François Matton, Oreilles Rouges et son maître , qui a paru chez...

... il suffisait que ça soit un minimum pimpant pour me redonner le sourire...

... longtemps, dessiner des filles nues a été mon antidépresseur favori... ... je ne sais pas trop ce qu'il en reste aujourd'hui......