jeudi 6 février 2020
lundi 3 février 2020
vendredi 31 janvier 2020
jeudi 30 janvier 2020
mardi 28 janvier 2020
vendredi 24 janvier 2020
dimanche 5 janvier 2020
jeudi 2 janvier 2020
mercredi 1 janvier 2020
mardi 3 décembre 2019
dimanche 1 décembre 2019
jeudi 28 novembre 2019
jeudi 14 novembre 2019
vendredi 8 novembre 2019
mardi 5 novembre 2019
dimanche 3 novembre 2019
mardi 29 octobre 2019
jeudi 24 octobre 2019
lundi 7 octobre 2019
vendredi 27 septembre 2019
jeudi 12 septembre 2019
mercredi 11 septembre 2019
jeudi 5 septembre 2019
lundi 2 septembre 2019
jeudi 8 août 2019
L'homme à la brouette
(allégorie)
Nourrir les alpagas,
les poules,
les chiens,
les chats,
les vaches,
arroser le grand potager
& les innombrables arbres fruitiers,
curer l'étable,
déplacer les clôtures électriques,
etc.
Travailler au grand air sans se poser de questions.
Très agréable.
(Je le savais.)
dimanche 30 juin 2019
mercredi 26 juin 2019
De soi-même
lundi 24 juin 2019
corps 48
je tu il
nous vous ils
tout le monde est dehors
nous sommes au milieu de nous
situation pénible
spectacle moyen
je préfère observer les têtards
qui frétillent dans la mare
on dirait des virgules
corps 48
,, , , , , , ,
nous vous ils
tout le monde est dehors
nous sommes au milieu de nous
situation pénible
spectacle moyen
je préfère observer les têtards
qui frétillent dans la mare
on dirait des virgules
corps 48
,, , , , , , ,
vendredi 21 juin 2019
Magique
Je peux maintenir l'ouverture tout en marchant, c'est formidable ! Les rues s'ouvrent devant moi. Je ne saurais dire si je les avale dans mon grand vide ou si c'est le grand vide qui les crache, mais c'est magnifique et très drôle. Les bâtiments n'ont plus la même taille, je les perçois comme des maisonnettes pour enfants. Au fur et à mesure que j'avance, le monde semble se glisser de part et d'autre pour se dissoudre — les platanes notamment. Tout ça est très étrange et follement gai. Liberté, liberté jolie !
Pour que cette ouverture au centre reste confortable (non angoissante), pour ne pas que je m'y abîme avec vertige, il faut que j'y maintienne la conscience de mon corps. Qu'il soit relaxé ou non n'est plus un problème. Il suffit que je sois conscient de sa présence en restant à l'écoute des sensations : chaleur, fourmillements, tensions diverses, densité, impression de creux, de mou, de spongieux, etc.
Ces sensations changeant sans cesse, l'abandon de toute image fixe de mon corps s'impose — pour ne pas le brimer, pour lui laisser tout loisir de se métamorphoser à sa guise. Par exemple sa taille varie considérablement, d'une minute à l'autre, en fonction des tensions auxquelles il est nécessairement soumis pour accomplir le moindre geste. Il passe de nain à géant sans ciller.
En m'allongeant sur le canapé, il peut en revanche se relâcher complètement. Il se fait alors très léger, très discret — même s'il s'étale au premier plein et occupe une bonne partie de mon champ visuel comme un nabab vautré dans l'abandon.
Je le perçois au même titre que n'importe quel autre objet du monde. Il se trouve juste qu'il est constamment au tout premier plan : c'est mon paysage le plus familier.Anne, Anne, n'entends-tu rien venir ? Le monde est en marche vers la joie !
lundi 17 juin 2019
mercredi 12 juin 2019
vendredi 7 juin 2019
lundi 3 juin 2019
lundi 27 mai 2019
dimanche 26 mai 2019
jeudi 23 mai 2019
mercredi 22 mai 2019
samedi 18 mai 2019
Portrait à la cire
Peinture à la cire. Ma période Philippe Cognée.
Si j'avais eu du courage j'aurais pu faire fortune.
(Aurais-je été plus heureux ?)
mardi 14 mai 2019
Inscription à :
Articles (Atom)