(ni ceci ni cela)

samedi 30 septembre 2023

vendredi 29 septembre 2023

jeudi 28 septembre 2023

mercredi 27 septembre 2023

mardi 26 septembre 2023

lundi 25 septembre 2023

mercredi 20 septembre 2023

lundi 18 septembre 2023

Renaud

 


samedi 16 septembre 2023

Marina

Si j'additionne mes absences plus le gravier autour de la caisse du chat on est dans le cosmos, même à la cave. Tout à coup l'espace le vide les étoiles, les trois à la fois.





jeudi 14 septembre 2023

Méta

Il y a tout juste 7 ans, me rappelle incidemment Facebook, j'ai fait ce curieux strip — ce que j'avais complètement oublié. Dans le genre méta (comme dirait Lise Charles dans La Femme sans bouche), ce n'est pas mal du tout (je m'y connais).



mercredi 13 septembre 2023

Roland




 

lundi 11 septembre 2023

Alain

 


vendredi 8 septembre 2023

Reine

 


mardi 5 septembre 2023

dimanche 3 septembre 2023

samedi 2 septembre 2023

Ingrid




 

jeudi 31 août 2023

jeudi 27 juillet 2023

Thomas


 

dimanche 23 juillet 2023

jeudi 29 juin 2023

jeudi 22 juin 2023

Cases


 

samedi 10 juin 2023

Hi han

 

mardi 6 juin 2023

samedi 3 juin 2023

mercredi 31 mai 2023

lundi 29 mai 2023

Dessins (do it yourself)

 

Je deviens tout ce que je dessine. Impossible de ne pas rire si je dessine quelqu'un qui rit, impossible de ne pas grimacer pendant que je dessine une grimace, impossible de ne pas me changer en arbre si je dessine un arbre. Un arbre, un microscope, une case fantôme, un mausolée, le château du poisson, une cuisine embrasée, une boutique à Pékin, un écritoire, des voitures incendiées, un ourson pathétique, un canard renversé, l'heure des braves, un coin en Floride, un palmier grêle, le lieu du crime, une place fantôme, Anne se lavant les mains, moi lisant, la découverte d'Arnaud, un temple thaï, des éléphants au travail, une robe de soie, un téléviseur antique, Sam, l'homme invisible, trois saints, un poster porno, une oreille tirée, un clocher, un rideau soufflé par le vent, une barque, des joncs, de l'ombre, des fauves, des lianes, des serpents, des indiens, une pirogue, des chevaux, une pile d'assiettes en lévitation, le portrait d'un ancêtre, le F envolé de Ford, un beau fauteuil en osier, la vue sur les plantations, un toboggan vert, une plaie au genou, un radeau vu de haut, des requins, des méduses, des oiseaux, des corbeaux, des couteaux.

lundi 22 mai 2023

mercredi 17 mai 2023

Le tourisme spatial

Illustration pour Avant-Poste, le journal de l'Observatoire de l'espace (le laboratoire culturel du Centre National d’Études Spatiales).


lundi 15 mai 2023

vendredi 14 avril 2023

que devient une image dans un champ électrique

Exposition de Suzanne Doppelt au Centre international de poésie (Marseille)

Dans le cadre des rencontres liées au 40ème anniversaire des éditions P.O.L, l'exposition de Suzanne Doppelt "que devient une image dans un champ électrique" aura lieu au Centre international de poésie de Marseille ; du 15 avril au 24 juin 2023.
Vernissage le samedi 15 avril à 16 heures, suivi à 16h30 des lectures
de Suzanne Doppelt, François Matton et Fabienne Raphoz.
Centre international de poésie
Centre de la Vieille Charité
2, rue de la Charité, 13002 Marseille



lundi 27 mars 2023

mercredi 22 mars 2023

Qui ?

 


vendredi 17 mars 2023

mardi 7 mars 2023

samedi 4 mars 2023

mardi 28 février 2023

Salut !

toujours en vie vieille branche ?


vendredi 23 décembre 2022

mercredi 21 décembre 2022

Glop


 

lundi 19 décembre 2022

Le mot angoisse



La Femme sans bouche
Lise Charles / François Matton / POL 2022

dimanche 11 décembre 2022

A deux pas de chez moi

On pourrait aussi bien être en 1933.



mardi 6 décembre 2022

Immobile

Tolstoï, Carnet (1910)

Il semble d'abord que le monde se meut dans le temps et que je marche avec lui, mais plus on vit et plus c'est d'une vie spirituelle, plus il devient clair que le monde se meut et que soi-même on est immobile. Parfois on en a clairement conscience, parfois on retombe dans l'erreur qu'on se meut avec le temps. Et quand tu comprends ta propre immuabilité — ton indépendance du temps, tu comprends aussi que non seulement le monde se meut tandis que tu restes immobile, mais qu'en même temps que le monde se meut ton corps : tu grisonnes, tu perds tes dents, tu t'affaiblis, tu es malade, mais tout cela se fait avec ton corps, avec ce qui n'est pas toi. Tandis que toi tu es toujours le même — un seul et même toujours : à huit ans et à quatre-vingt-deux ans. Et plus tu as conscience de cela, plus la vie se transporte d'elle-même hors de toi, dans l'âme des autres hommes. Mais ce n'est pas seulement cela qui te convainc de ton immuabilité, de ton indépendance du temps — il y a une conscience plus solide du fait que le moi, ce qui constitue mon moi indépendamment du temps, est un, toujours un et indubitable. C'est la conscience de mon unité avec le Tout, avec Dieu.

lundi 5 décembre 2022

mardi 29 novembre 2022

mercredi 23 novembre 2022

samedi 19 novembre 2022

Un bon duo

Nous avons formé un duo assez drôle jeudi à la librairie Les Traversées. Moi en chien un peu foufou, Lise en digne capitaine du drôle de navire qu'est La femme sans bouche. Le public riait.

Ne manquez pas notre prochain numéro, lundi 21 à la Maison de la poésie :
https://maisondelapoesieparis.com/programme/lise-charles-francois-matton-la-femme-sans-bouche/








mercredi 16 novembre 2022

Vive la Belgique !

(Article de Geneviève Simon sur La femme sans bouche dans La Libre Belgique)

À partir de dessins de François Matton réalisés depuis qu’il a quinze ans, Lise Charles tisse une prodigieuse toile.
★★★ La Femme sans bouche, roman graphique de Lise Charles et François Matton, P.O.L., 304 pp. Prix 32 €
Feuilleter La femme sans bouche suffit à se laisser convaincre de découvrir la proposition que cosignent la romancière Lise Charles et le dessinateur François Matton: la formule du carnet qui n’a jamais perdu son attrait, le jeu des couleurs et d’un trait qui se démultiplient, l’apparence bricolée qui titille la curiosité.
Déjà auteure de trois romans et, sous le nom de Marianne Renoir, de deux textes pour la jeunesse, Lise Charles (1987) s’est plongée dans l’immensité du travail, dessins et aquarelles, que François Matton a réalisé depuis qu’il a quinze ans : c’est sur ce matériau qu’elle s’est appuyée pour écrire une histoire qui, sous sa plume, a consisté à créer des liens entre les éléments qu’elle avait sous la main. Sachant cela, on ne peut qu’être bluffé par la fluidité du résultat. Quant au travail de François Matton, dessinateur chevronné qui a signé une bonne dizaine de titres, il le dépeint lui-même (sur le site des éditions P.O.L.) mieux qu’on ne pourrait le faire: “Il voit dans sa pratique du dessin, qu'il lie à l’écriture, une façon de célébrer tout ce qu’il perçoit: le plus proche comme le plus lointain, le plus trivial comme le plus noble, le plus grave comme le plus léger. Tout vient se placer sur sa feuille sans aucune hiérarchie. Tous les registres se mêlent indifféremment, ce qui donne lieu à de curieuses rencontres”.
Thomas a dix-sept ans. Dans les carnets qu’il tient, entre journal de bord et journal intime, il raconte sa vie de lycéen. Il y révèle être le neveu des auteurs (Lise, écrivaine, est la sœur de sa mère, et François, qui dessine, est le frère de son père). Thomas dessine tout le temps, avec un certain talent, ce que son oncle et sa mère encouragent. Celle-ci s’adonne depuis peu au yoga à domicile (confinement oblige), et Thomas est à la fois intrigué et fasciné par la prof qu’il nomme la femme sans bouche. Solitaire, Thomas compte peu d’amis. Pierre, qui lui est le plus proche, va tomber amoureux de la femme sans bouche, ce qui provoque en Thomas des sentiments mélangés empreints de jalousie.
“Parfois, j’aimerais partir loin de moi”, s’épanche-t-il. Dans ces cinq carnets, qui couvrent la période allant d’octobre 2020 à 2021 (sans doute, les dates disparaissant en cours de route), Thomas représente ses proches et ses profs, son mal-être et ses fantasmes sexuels (suggestifs ou explicites), son désir de faire du dessin son métier, son envie d’ailleurs, l’étrange sentiment d’être un sorcier. Le tout dégage une large gamme qui va de l’enfantin à la rage, de la poésie à la stricte illustration.
L’encre, le crayon, l’aquarelle s’y mêlent, et font, quand c’est nécessaire, la place belle au texte, qui est assuré et habile à rendre cette période charnière, équivoque, parfois déstabilisante, entre la fin de l’adolescence et l’aube de l’âge adulte. De l'ensemble se dégage une énergie, une curiosité, un appétit absolument vibrants. Quelque chose de délicieusement décalé, aussi.
Geneviève Simon


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lundi 14 novembre 2022

Salut toi

on t'aime bien tu sais



samedi 12 novembre 2022

Pikachu

 Billet de Thierry Groensteen sur La Femme sans bouchehttps://www.editionsdelan2.com/groensteen/spip.php?article89




lundi 7 novembre 2022

Rencontre

Jeudi 17 novembre à 19 heures, je serai avec Lise Charles à la librairie Les Traversées à l'occasion de la parution de La Femme sans bouche, P.O.L
Au plaisir de vous y retrouver !

Les Traversées
2, rue Edouard Quenu
75005 Paris