(ni ceci ni cela)

mardi 10 octobre 2017

Dis-moi...





« Pensé hier : l'abondance d'écrits est une calamité. Pour s'en débarrasser, il faudrait ériger en coutume qu'il soit infamant de publier de son vivant — seulement après la mort. Combien de déchets se déposeraient et quelle eau pure coulerait ! »

Tolstoï (1889)
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Tant qu'on n'est pas fatigué du cinéma intérieur, tant qu'on y prend encore du plaisir, tant qu'il continue à nous exciter IL NE S’ARRÊTERA PAS. Il a besoin de notre complicité pour se poursuivre. Retirez cette complicité, pof, il s'arrête aussitôt. (Que reste-t-il alors ?)